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Eco-responssable.
Ma publicité respectueuse de l'environnement.
La publicité, grâce à la diversification des supports de communication, permet aujourd'hui de communiquer de manière verte.
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Selon un rapport (PDF) de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), "un écran publicitaire LCD numérique de 2 m2 consomme 2 049 kWh par an, ce qui est proche de la consommation moyenne d'un ménage français pour l'éclairage et l'électroménager (2 350 kWh/an)".
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La consommation d’un hologramme de 65 cm de diamètre est de 262,8 Kwh/ an. Nous sommes donc un support d’affichage beaucoup moins consommateur d’électricité tout en utilisant une technologie complètement révolutionnaire.
Un avantage concurrentiel a mettre en avant et un point d’honneur pour les nouvelles technologies utilisant l’affichage publicitaire.
Consommation électrique d’un écran.
Pour déterminer la consommation électrique d'un écran, plusieurs facteurs doivent être pris en compte. Le premier est la nature de cet écran. En effet, les solutions de rétroéclairage telles que les écrans LCD consomment plus d'énergie que les solutions d'écran LED.
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De plus, les autres composants nécessaires au fonctionnement de l'écran sont alimentés. Par exemple, des éléments d'un processeur vidéo ou d'un système de contrôle peuvent être envisagés. Leur consommation dépendra alors de la qualité de ces éléments.
En effet, la qualité globale de l'écran influe directement sur son niveau de consommation énergétique. En général, un écran géant de même surface, luminosité et résolution consomme moins d'énergie, ce qui oblige à redoubler de prudence avec les éléments qui le composent. Cependant, ce choix de composants haut de gamme signifie généralement un prix de vente plus élevé.
La chasse aux panneaux d'affichage extérieur.
Finies les forêts de panneaux publicitaires. À l'initiative de collectifs écologistes, mais aussi de la volonté d'élus pour sauvegarder le patrimoine, plusieurs agglomérations ont décidé de faire la chasse aux affichages commerciaux.
La guerre contre les panneaux publicitaires est déclarée. Une bataille lancée depuis des années par les associations militant contre la pollution visuelle dans les grandes villes, relayée par les collectifs alter-mondialistes et engagée par certains élus qui souhaitent sauvegarder le patrimoine.
Il sera donc de plus en plus difficile de diffuser la publicité de son entreprise dans l’espace public.
Des alternatives s’offrent donc aux entreprises : la publicité dite « Indoor » (publicité dans des lieux privés, comme les centres commerciaux ou des grandes surfaces), mais aussi bien sur la publicité sur les réseaux sociaux.
